26 septembre 2014
Bardot et l'OAS.
" En pleine guerre d'Algérie, elle reçoit une lettre de l'OAS lui ordonnant de verser 50 000 francs sous peine de se faire plastiquer. C'est ce qui est arrivé à Françoise Giroud, alors rédactrice en chef de L'Express, dont l'actrice approuve l'engagement anticolonialiste et à qui elle transmet aussitôt la lettre. Non seulement elle a déposé la première plainte en justice contre l'OAS, aidée de son avocat Robert Badinter, mais en plus elle cachera le dramaturge Antoine Bourseiller, recherché pour son soutien au FLN. Jamais elle ne s'en est vantée. " (Marie-Dominique Lelièvre)
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